Studentská vědecká konference

Dne 30. března se na Filozofické fakultě Ostravské univerzity uskutečnila Studenská konference pořádaná katedrou romanistiky. Úkolem bylo si připravit prezentaci na téma spjaté s Francií, francouzskou kulturou, historií, literaturou apod. Konference představovala cvičnou zkoušku pro studenty univerzity a tak i poslední šanci, jak zjistit a napravit své chyby v mluveném projevu. Ale už 2. rokem byla konference i soutěž pro studenty středních škol, kteří by se tak seznámili s prostředím vysoké školy a případně mohli i něco vyhrát. No a já jsem se tedy této příležitosti chopil, jakožto největší frankofil školy. Dlouho jsem se nemohl rozhodnout, na jaké téma si prezentaci připravím, a nakonec jsem to tedy vzal polopatě a vzal si celý francouzský svět, tedy Frankofonie.
Konference byla celkově super. Poslouchat, jak vaši kolegové mluví francouzsky a při tom vás i něco nového učí… A zároveň bylo vtipné vidět rozdíly mezi středoškoláky a vysokoškoláky. Vysokoškoláci brali svou prezentaci vážně, plno textu a žádný obrázek. Zatímco my středoškoláci jsme měli své prezentace obrázky přeplácané, textu jsme se vyhýbali a (co se mě týče) dělali jsme si z toho ještě srandu. Před svou přednáškou jsem byl dost vystresovaný, což nejsem skoro nikdy, a nejradši bych vyskočil z okna a šel do nedaleké Karoliny. Ale jakmile jsem přednášel, byl to vážně super pocit a nechtělo se mi skončit. Ale stejně jsem zavřel pusu a nechal prostor ostatním.
No a jak to skončilo? V kategorii středoškoláků jsem vyhrál já, ale nevím, jestli hodnotili jazykové dovednosti, informace v prezentaci nebo obojí. A co jsem si odnesl? Kromě vzpomínek a slovníku nic, protože hned všechno zapomenu. Ale pamatuju si aspoň, že mě jedna milá Slovenka oslovila Dotko, takže vím, jak říkat Dominikům na Slovensku.

Dominik Nagy

Colloque estudiantin de langue et littérature françaises

(Avant de lire : Je vous informe que la version française ne correspond pas parfaitement à la version tchèque. Il ne faut donc pas utiliser la version tchèque comme la traduction parfaite, de plus cela pourrait vous apprendre des choses fausses. D’ailleurs si vous êtes francophobe et que vous n’aimez pas la langue française, je sais que vous ne comprenez pas, mais de toute façon je vous prie de ne pas poursuivre votre lecture. Merci )
Le 30 mars, c’était le Colloque estudiantin organisé par le Département des études romanes qui a eu lieu à la Faculté des lettres de l’Université d’Ostrava. Il fallait préparer une courte présentation portant sur la France, la culture, histoire et littérature françaises, enfin tout ce qui est lié d’une façon ou l’autre à la France. Le colloque représentait la dernière chance pour les étudiants de l’Université d’apprendre les fautes qu’ils faisaient pendant leur communication. Mais depuis 2 ans, le colloque est aussi une petite compétition pour les lycéens qui se familiariseraient ainsi avec le cadre universitaire et pourraient aussi gagner un petit quelque chose. Et moi, étant le plus grand francophile de l’école (ce mot existe ! Aussi bien que francophobe !) j’ai décidé de participer à cette compétition. Pendant bien longtemps je n’arrivais pas à choisir un thème pour ma présentation, alors du coup je l’ai faite sur tout le monde français, genre la Francophonie. Le colloque était vraiment super sympa. Écouter vos collègues parler français alors qu’ils vous apprennent de nouveaux trucs. De plus, c’était vraiment marrant de voir les différences entre les étudiants de l’Université et les lycéens. Les plus vieux étaient trop sérieux, avaient trop de texte et pas d’image. Quant à nous les lycéens, on avait mis plein d’images dedans, presque sans texte et (en ce qui me concerne moi) on s’en moquait. Avant mon exposé, j’étais trop stressé, ce que je suis presque jamais. Mais une fois « sur la scène », le sentiment était archi bien et je ne voulais plus sortir de là. Mais quand même j’ai mis fin à ma parole et permis ainsi aux autres de poursuivre le programme prévu.
Et comment ça s’est fini ? Eh ben dans la catégorie des lycéens c’était moi qui ai gagné, mais je sais pas si l’on avait évalué les aptitudes linguistiques, l’information ou les deux, parce que perso je ne crois pas que ma présentation ait appris quelque chose à quelqu’un. Et qu’est-ce que j’ai rapporté ? Mis à part les souvenir et un dictionnaire, rien, parce que j’oublie tout illico. Mais au moins j’ai retenu qu’une gentille fille slovaque m’avait appelé Dotko, alors du coup je saurai comment appeler les gars prénommés de Dominique en Slovaquie.

Dominique Legrand (Nagy veut dire «grand» en hongrois)